A première vue, la jaquette de Kid A fait penser à d’étranges montagnes réalisées avec de la 3D. Un paysage apocalyptique marqué par le contraste entre les montagnes blanches et légèrement bleutées, et un ciel sombre, portant vers le rouge. Le tout parfaitement à l’image du contenu du disque. Une musique sombre, et envolée...

Oui mais voilà, il parait, d’après Thom Yorke, que Kid A parle du clonage... Alors si l’on cherche bien, on devrait trouver des liens sur la pochette... Et quand on cherche... on trouve :

• On remarquera tout d’abord, en observant la pochette sur le côté droit, le profil d’un personnage. Deux sommets forment son nez et son menton, des zones d’ombre suggèrent l’oeil et le sourcil.
• Maintenant, si l’on regarde la pochette sur le côté opposé, on remarquera le même profil répété deux fois. Deux clones...

  

  Explication

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En poussant le vice un peu plus loin, on va mesurer l’écart entre les deux profils des deux clones de gauche. On obtient environ 16 millimètres et des poussières... Si l’on a à disposition deux copies de Kid A, l’expérience qu’il faut alors tenter est de lancer la lecture des deux copies avec 16 secondes et des poussières d’intervalle(16.7 pour être exact). Le décalage tombe tellement bien que l’on obtient un résultat impeccable du début à la fin de l’album. Les paroles, les riffs, les mélodies, se répondent et s’intercallent à merveille. Kid A est cloné. Essayez...

Je ne sais pas qui a trouvé ça, ni si tout cela est voulu, mais cela ne fait que rajouter aux mystères qui entourent cet album sombre mais excellent de Radiohead.

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